La fée de la forêt m’a invitée dans sa chaumière avec quelques uns de ses amis. Des colibris paressent dans l’air, plongeant parfois leur bec ambré dans les roses qui grimpent le long des murs. La table est recouverte de biscuits, friandises, pâtisseries, et autres gourmandises.
Pas de murs gris, de draps rêches, de repas infâmes, d’odeur de désinfectant, de pilules multicolores, de portes fermées, de docteur qui veut soigner ma tête. Qu’on se le dise : je suis mieux au pays des fées.
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