Lorsque j’écris un texte sur un sujet que je ne connais pas très bien, une des premières étapes d’écriture est la documentation. Le fait est qu’au grand désespoir de mes parents, j’ai renoncé à une brillante carrière de polytechnicienne au profit de… eh bien, je me suis promenée au pays des mots, c’était chouette.
Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je n’ai aucun regret, et je n’en ai jamais eu. Simplement, mes connaissances en physique sont pour le moins rudimentaires, et lorsque je me suis intéressée à la table de Mendeleïev, j’ai compris que « rudimentaire » était encore un peu prétentieux. Pour résumer, je n’y comprends absolument rien.
C’est là que l’état d’esprit a une importance. Face à une difficulté, il y en a qui se diront « c’est trop dur, j’y arriverai jamais, je suis qu’une grosse merde ! ». Moi je me dis : « Houston, nous avons un problème. Rameutez vos cerveaux et vos crayons à papier, je veux une solution. Tout de suite ! ».
Si j’étais une devise, ça serait : « S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème. »
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