Ô clitoris, toi qui es le seul organe exclusivement dédié au plaisir ; toi dont certains ignorent l’existence et beaucoup la forme réelle ; toi qui es parfois amputé, méprisé, frotté sans douceur ; toi qui te caches dans les profondeurs de mon être, bien au-delà du bourgeon ; ô clitoris, toi l’essentiel, le fascinant, le merveilleux, l’extraordinaire double vestibule de l’orgasme, il est temps de te redonner tes lettres de noblesses.
Ô clitoris, la nature a jugé utile de te créer et de te garder, toi, un organe qui ne sert qu’à jouir. Pourquoi tant de mépris à ton égard, quand tu devrais inspirer les foules ?
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